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Nan mais je rêve... !
26 mai 2008

Coïncidence, coïncidence...

Quand je quitte mon espace administrateur chez Canalbloug, après avoir posté, ou jeté un oeil sur les mots-clés (parfois... comment dire... bizarres, quoi ! Y'en des gens qui ont des requêtes zarb' sur les moteurs de recherches, nan ?) amenant en ces lieux quelques brebis égarées, quand je quitte donc et que j'atterris sur la page d'accueil j'aime bien cliquer au hasard sur les titres de notes référencées qui viennent juste d'être publiées à ce moment-là.
Le rapport du texte avec le titre, découvrir de nouveaux lieux, des nouvelles d'une famille inconnue, une foule de scrabookeuses, de tricoteuses, de brodeuses, des photos de voyage, des délires, des trucs bizarres parfois, ou tristes, parfois tomber sur un truc connu... J'aime bien, cliquer au hasard. Au hasard du titre, surtout.
J'en étais là, cette fin de matinée d'un mercredi d'octobre, me déloguant de mon chez-moi et cherchant un titre accrocheur.

"Les nausées, c'est plus fort que toi", disait celui-ci. Original. Et puis la veille, j'avais eu une bonne migraine, de celles à qui j'attribuerais bien 8,5/10, avec nausées au début comme d'hab', concert de marteaux piqueurs en sol majeur tempe droite ET gauche, grignotage du cervelet par petite cuillère et tête dans la cuvette vers la fin, (ça c'est plus rare, c'est seulement dans celles qui dépassent 8/10), mais là c'en était une bien quand même, si si.
Alors, peut-être allais-je trouver des idées pour soulager ces fichues nausées annonciatrices de migraine, qui sait ? Vite, jeter un oeil !
Je clique. Plutôt un blog d'heureuse future maman, à vue de nez, bon, ok, c'était certes plus que prévisible. Tiens, c'est rigolo, c'est dans le même style que le blog de ma belle-soeur, (Petit-Scarabée) mêmes couleurs douces, même style d'écriture, même genre de mise en page et de bannière, sous-titre : Couple lyonnais à la découverte de la parentalité (tiens, la même ville que ma belle-soeur et mon frère ?! là ça m'interpelle carrément), euuuuuh, le pseudo, il est où le pseudo de la propriétaire de ce blog inconnu ??? Fébrilement, j'ai cherché, croyez-moi !
Heureusement que j'étais assise quand j'ai trouvé.
Puis comparé les adresses-mail, nan paske les pseudos, après tout, ça peut faire doublon, y'a qu'à voir le nombre de Mimi's originales sévissant sur la toile ! Mais une adresse-mail, ça ne trompe pas...

SCHBLAM.

J'vais être tata, j'vais être tata !!!!!

C'est pas une put*ù§£# de coïncidence, ça ?!!!!
(Sans déconner, les gars ?!!)

Je me souviens avoir eu envie d'appeler la frangine immédiatement pour lui faire part de ma découverte inopinée ET de la bonne nouvelle, et en même temps de dévorer tout ce nouveau blog, tout en n'en revenant pas de cette coïncidence de fouuuu à cause d'un simple clic à partir d'un titre... (8 mois après, je n'en reviens toujours pas !) J'ai choisi de lire le blog en diagonale vite vite, pour pouvoir donner le plus d'infos possibles à la frangine.
Je me souviens de la frangine au téléphone, et de son cri "ON VA ÊTRE TATAS, HIIIIIIIIIIII, ON VA ÊTRE TATAS !!!" Elle devait être en train de sauter partout dans l'appart...

Elle devait justement recevoir frère et belle-soeur dans la semaine. Alors je me suis incrustée, je voulais absolument être là, malgré les 150 bornes, des fois qu'il y ait annonce officielle... qui sait ?
Il a fallu attendre quasi le dessert (arrrgh !) avant qu'ils ne nous lâchent le morceau, arffff, dur dur de faire comme si de rien n'était ! Et en même temps je me disais qu'elle ne voulait peut-être pas que nous découvrions ce blog, et en même temps, puisque c'était fait (et totalement innocemment en plus !) je ne pouvais pas ne pas le lui dire et faire comme si je ne savais pas...
ça a donné un dialogue du genre :

Bousier : - Au fait, vous préférez qu'on vous appelle tonton ou tata ? (ça c'est de l'annonce, notez, hein ?)
(regard de connivence entre frangine et moi): - Hiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, on va être tata, on va être tata !
Moi, discrètement à PetitScarabée: - Au fait, t'aurais pas ouvert un autre blog...???
Elle : - QUOI ??????????? Mais comment tu sais ????
Moi : - Ben...

Elle a cru s'être trompée de lien peut-être, en laissant un comm' ici. Mais non, même pas.

Trop-for-te, Mimi Je Rêve.  :-D
(Future tata de son état.)

C'était début octobre. Et là, depuis une semaine, on attend que mini-nièce pointe le bout de sa frimousse...

Hiiiiiiii, je vais être tata, je vais être tata !
Bon courage aux futurs parents, et gros gros bisous à eux.

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4 mai 2008

Question

frigidaire 

Que peut-on faire avec du fromage de chèvre, retrouvé au fin fond du frigo (bouououh qu'il est profond !), dont la date de péremption indique :

                       "à consommer avant le 05/05/07" ?

Nan parce que les yaourts périmés d'un mois, ou même deux, je mange, sans souci (fermenté pour fermenté, de toutes façons !)
Et je n'ai jamais été malade.

Mais là quand même... :-D  (Je m'épaaaate !)

Je vais de ce pas voir la date sur mes briques de jus de fruit.

27 avril 2008

Anonym'âge...

Coup de fil, numéro caché comme d'hab, y'en a légèrement marre...

- Bonjour madame ****** (tiens, il sait prononcer mon nom, à peu près, celui-là. Charmant accent, ceci dit, et en plus j'arrive à comprendre ce qu'il me raconte, ça change.)
Luc Bidule, de la société "MachinTruc".
Bla bla bla bla bla bla, je le laisse dire, je n'aime pas couper la parole aux gens, il fait son boulot après tout, bla bla bla, offre très intéressante, bla bla bla, occasion unique, bla bla bla, réservée aux plus de 50 ans.
(sourire intérieur, je me demande si j'ai bien tout compris, nan pasque quand même quoi, il parle vite ?!!)

- Vous avez bien plus de 50 ans, madame ? (ah ouiiii, c'est ça, j'avais bien entendu !)
J'éclate de rire, forcément.

- Aaaah, pas du tout, mais alors pas du tout !
Du coup, lui aussi il rigole.
- Ah ?! Et bien tant mieux pour vous, madame !
Bonne journée, au revoir !

???
C'est quoi, leur base de données ? les stats d'années de distribution des prénoms ?
Bon, au moins il était sympathique !

Edit : bon, après recherches, j'ai vu que mon prénom n'était en fait pas plus fréquent il y a 60 ans qu'aujourd'hui, il y a juste eu un léger pic entre 72 et 90, donc pour le 3ème âge c'est pas encore ça (n'est-ce pas, heeeiinn ?)

Alors quoi, ils se basent sur mes habitudes de consommatrice ?
Arghh.
J'ai peur. (De mes habitudes ?)

25 mars 2008

Tag-séveune

7 - J'ai un tic de langage (naaan, sans déc' ???)

Je ne vous ferai pas l'affront de vous dire lequel... ?!

J'en ai pris conscience lors de ma toute première année d'enseignement, une classe de maternelle. Je travaillais avec les grandes sections, les petits peinturluraient avec l'atsem, et les moyens disposaient de quelques minutes au "coin jeux d'imitation". Et ce petit groupe jouait à ce moment-là à... la maîtresse.
Tout en appuyant sur le sens du tracé du chiffre 9 avec mes grands, je laissais traîner une oreille en direction des moyens, et je suis restée scotchée par la véracité de l'imitation. Cette petite bonne femme haute comme trois pommes qui tenait mon rôle avait ma posture, mes intonations, ma façon de m'adresser à eux, et ponctuait une phrase sur deux par des "Non mais je rêêêêve !" bien appuyés, plus vrais que nature. Ma super atsem se mordait les lèvres très fort pour ne pas rire. Le groupe de ceux qui "jouaient aux élèves" en rajoutait 3 tonnes, singeant le copain, le sage prenant le rôle d'un remuant et vice-versa. Un vrai jeu de rôle spontané. Et la petite maîtresse avait du fil à retordre avec ce groupe déluré, qu'elle menait d'une main de fer.
Je me suis vue. Je me suis entendue, surtout.

Donc oui, d'accord, je le dis très souvent, version courte (2 mots), ou version longue (4, ou parfois même 5), tout dépend des circonstances. Souvent c'est spontané, c'est le propre d'un tic langagier n'est-ce pas. Parfois j'en rajoute un peu...
Et puis, il y a les mimiques qui vont avec,
les yeux au ciel, exaspérée,
les yeux écarquillés version là-tu-exagères,
sourcils froncés version là-ça-va-pas-du-tout-tu-te-fiches-de-moi-non-mais-ho
sourcil levés et mouvement de tête de gauche à droite, version désabusée,
bouche bée version scotchée/vraiment surprise...

Nan mais attends, je rrrrrrrrêêêve !!!

24 mars 2008

Tag-sics

6 - Je suis sujette à "la peur de tomber dans le vide".
Ce qui n'est pas tout à fait la même chose que le vertige.

Je ne peux pas me pencher au bord d'une falaise. Mais comme j'ai quand même très envie de voir en bas, je peux avancer assise. (Voire en rampant !!!) Pas de risque de basculer quand on est assis. Bon, pas trop près du bord quand même, hein.

Je ne peux pas m'appuyer sur la rambarde d'un balcon si je n'ai pas vérifié sa solidité, en la secouant un peu par exemple. (Ce qui est forcément relatif, bien sûr.)
Monter sur un escabeau... hahem, tant que je me tiens aux montants, si les pieds sont bien posés par terre, ok.
Quand je dois tout lâcher pour attraper l'ampoule, rien ne va plus.
Même en classe, tenir d'une main les punaises et de l'autre l'affiche, ben la maîtresse elle est pas fière tout en haut de son escabeau...

J'aime beaucoup skier, mais prendre le télésiège reste un moment pénible, quand même. Si je suis assise au milieu, bien calée ça peut aller. Si je me retrouve au bord... je pourrais glisser entre le siège et le garde-corps, on sait jamais ! (quoi ça risque rien ? Ouais ben on sait pas, hein, entraînée par le poids, le matos + moi, les habits qui glissent, ça peut passer, on sait pas et je ne veux pas tenter !) Pire, un télésiège en descente... comme en février où nous n'avons pas pu rejoindre la station par la piste habituelle, because plus de neige !, il a fallu redescendre en télésiège. Oh lala, cette descente pendue au dessus du vide... une torture. Vraiment. Et en plus ma frangine respirait (nan mais quelle idée aussi), ça faisait tout bouger, l'horreur !!! Je rigolais nettement moins, là.

Ce n'est pas du vertige dans le sens où je n'ai pas la tête qui tourne, la vue qui se brouille tout ça, non, juste... je pourrais tomber, et à partir d'une certaine hauteur tomber ça peut quand même être un peu douloureux, non ?

En ce moment il est question à l'école que le voyage de fin d'année soit une sortie "accrobranche". J'ai déjà prévenu les collègues que je ne quitterai pas la terre ferme... Je les attends en bas !
Je crois qu'il me serait totalement impossible de traverser un ravin sur une passerelle remuante, genre Indiana Jones ou... Schrek, même. (Haha, ça c'est de la référence, hein !)
Ou peut-être à plat ventre.
Et encore.

En fait si je vois, si je sens que je NE PEUX PAS tomber, aucun problème avec le vide.
Mais si la balustrade est un peu branlante, ou même s'il n'y a aucune barrière... je ne m'appuie pas, je ne m'approche pas, je ne me penche pas.

IM-POS-SIBLE.

* hééé, tu savais que rembarde en fait ça s'écrit rambarde ? Ben moi, je viens de découvrir !

 

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22 mars 2008

Tag-faïve

5 - Je n'ai pas le sens de l'orientation.

Je n'entrerai pas dans la polémique comme quoi le cerveau des hommes, celui des femmes, gna gna gna... Je ne sais pas pour les autres, je parle pour moi.

D'ailleurs j'ai plutôt coûtume de dire que j'ai le sens de l'orientation, mais qu'il est juste différent de celui du commun des mortels. Bon, soyons honnête, puisque je suis seule contre tous... alors j'admets que je n'ai pas le sens de l'orientation, votre sens de l'orientation.
Dans cette dimension-ci, en tout cas. Je suis bien certaine que MON sens de l'orientation est valable, en fait, mais... pas ici visiblement. Sans doute dans un univers parallèle auquel je dois avoir accès inconsciemment parfois. Et comme je ne peux pas le prouver bien sûr, on va donc dire que je n'ai pas le sens de l'orientation. Soit.

D'ailleurs mon sens de l'orientation n'est pas inexistant, il est même carrément négatif.
Je raisonne, ça me paraît logique, normal, si ça c'est là alors ça c'est forcément de ce côté. Hé bé y a pas moyen, ça marche quasiment jamais.

En fait, je crois bien que je n'ai pas de représentation spatiale interne des relations des choses entre elles. Des lieux entre eux. Je vois bien, sur les cartes devant moi, mais je ne vois pas "à l'intérieur". ça reste au niveau de la vue, je n'intègre pas dans le tout-dedans. T'enlèves la carte, je vois plus rien du tout.
Je ne suis pas bonne du tout en géographie, ça a probablement un lien.

Alors les trajets en voiture... hahem, je ne vous dis pas.
Lire une carte routière ? Ha, mais je fais de mon mieux, hein ! Mais même quand ça me semble clair sur la carte, ça ne correspond jamais à la réalité, siiiii, j'ai remarqué d'abord. Et c'est quand même pas de ma faute si les cartes ne correspondent pas au terrain, hein ?!

Un exemple ? Je n'ai toujours pas compris pourquoi, chez l'un de mes cousins, la mer est à gauche de la route, mais après 15 bornes pour aller à la plage, elle se retrouve à droite de la route ???????
"On" m'a expliqué, plusieurs fois, plusieurs personnes, en regardant sur une carte, avec un schéma, mais siii, regarde, c'est logiiiiique !, etc, sur le coup je comprends, la côte forme une avancée dans la mer et en fait on traverse cette avancée, mais dès que je n'ai plus le dessin sous les yeux... ça n'a rien de logique du tout, ça me perturbe. Là généralement mon interlocuteur pousse un grand soupir, me regarde avec un air totalement désolé en secouant la tête, limite il a pitié de moi, même. (m'en fous.)

Dans une ville (bon, de taille relative, d'accord), généralement je maîtrise pas trop mal les quartiers mais s'il faut passer de l'un à l'autre par un trajet inhabituel... c'est fichu. Si je sais aller dans le quartier B depuis le quartier A, et que pour une fois je pars du quartier C pour aller dans le B, quand bien même fussent-ils voisins, il faut que je repasse par le A. Ce qui fait beaucoup rire ma frangine, c'est déjà ça remarque. Je n'ai pas de vue d'ensemble, du tout. Même en regardant sur le plan du calendrier juste après pour me prouver que ça faisait un bon détour, et ben non... ça ne me parle pas, ça ne représente rien, j'ai pas accès aux infos que tout le monde semble intégrer...
(d'abord les plans c'est n'importe quoi, je ne sais pas qui les dessine, mais alors, n'im-por-te-quoi ! Cette rue, elle est certainement pas comme ça, je le sais quand même, je la prends tous les jours !)

Cette incapacité ouvre la porte à de grandes moqueries dans ma famille, de bons jeux de mots, des vannes, des vannes, des vannes (qui me font rire aussi), c'est tout à fait récurrent. Quand je dois aller quelque part un peu loin, mon papa me fait la liste des axes à prendre et des sorties à suivre. Avec des mots, par écrit, un plan spa la peine ! Je me sers pas mal de mappy aussi.

Heureusement, bien que ma marraine la fée ait correctement foiré sur le point orientation, elle m'a dotée par contre d'une patience assez élevée. (Envers moi-même, déjà, et ce n'est pas rien)
Donc ça ne me gêne pas de tourner en rond jusqu'à ce que je trouve enfin la bonne route/rue/direction/indication, ou même de faire des maxi-détours.
Enfin, à condition que j'ai du temps devant moi, pas d'heure de RV fixe, parce que par contre je déteste arriver en retard.
En cas de point de rv inconnu avec heure limite d'arrivée, je prends toujours la peine, soit de repérer le chemin les jours précédents, soit de prévoir une marge de temps trèèès confortable. (quitte à arriver super en avance et à attendre dans la voiture ensuite.)

ET je suis toujours arrivée à bon port, toute seule comme une grande, je n'ai jamais appelé à l'aide oscourt je suis perdue heeeelp ! Et ça me fait marrer, toute seule dans ma tite voiture, tellement je sais qu'à chaque fois ça va encore (ne pas) marcher... mais que je vais finir par y arriver. SI.

21 mars 2008

Tag-for

4 - Je suis très très très souvent assise en tailleur.
C'est MA position, celle qui s'impose naturellement quand je me pose.

A l'école la maîtresse me faisait des remarques pour que je m'asseye correctement. Méééé euh !
Maman ne voulait pas que je sois assise en tailleur quand on était à table.
Pffff, mais ça gênait qui ???
Personne !

Des années plus tard, je persiste toujours, c'est plus fort que moi. Là tout de suite, j'ai l'ordi sur les genoux, je suis assise en tailleur.
Abonnée il y a quelques années aux entorses du genou, c'est à ces moments-là que je me suis rendue compte que c'est vraiment très frustrant de ne pas pouvoir s'asseoir comme on veut, spontanément, et que je ne suis pas à l'aise assise autrement (dans la durée, je veux dire.)

Il m'est arrivé de finir une nuit assise en tailleur, couchée en avant, tellement j'avais mal au bide.
De dormir en tailleur, la tête posée sur un manteau roulé en boule, pendant une longue nuit de train. (Avec un vieux à côté qui me cassait les pieds que je me bousillais le dos, et les articulations des jambes, et gna gna gna, ouais ben j'avais super sommeil d'abord hein.)

Oh, bien sûr, je sais me tenir, allons. Non, la maîtresse ne s'assied pas en tailleur à son bureau (hahem, pas la place sur la chaise...!) (et pis pas souvent au bureau...)
Par contre dans la salle de sport, quand il s'agit d'expliquer les règles d'un jeu à toute la petite troupe posée (calmement, huhuhu) autour d'elle, ben... oui.

Par contre le côté ch..., c'est que les pantalons n'aiment pas du tout. ça fait des vilaines poches au niveau des genoux, beuarrrrk. Du coup une des premières choses que je fais en rentrant le soir et que je n'ai pas à ressortir, c'est d'enfiler un vieux machin/jogging/pantalon de clown, un truc large quoi, déjà-déformé-toutes-façons-on-s'en-fout ! Rhaaaaa, le bonheur...

J'aime bien avoir mes petons bien coincés tout en dessous. Le dos bien droit. (Ou pas)
Je peux rester une soirée entière assise en tailleur. Bien sûr au bout de 2 heures, parfois j'ai des fourmis dans un pied, où un genou un peu douloureux... quelques pas pour aller boire un coup d'eau, faire circuler le sang, un remuage d'orteils pour l'exercice, et hop, c'est bon !
Je me doute que ce ne doit pas être super pour la circulation, ni pour les articulations mais bon...

HA, et pis ça n'a absolument rien à voir, mais alors le nouveau Côte d'Or dégustation Lait-Sésame, OUH-WA-OUUUH. Ah si si si.

19 mars 2008

Tag-thri

3 - Je n'aime pas le vin (ouuuuuh, spa bien !)

Bé non, je n'aime pas le vin, rouge rosé ou blanc, même le champ'. Je ne trouve aucun agrément, aucun plaisir à en boire, je n'en apprécie pas le goût, ou bien je ne sais pas l'apprécier, je n'ai pas appris, comme on me dit souvent, peut-être, n'empêche que je ne trouve pas ça bon. Trop acide.

Oh j'ai goûté, hein, parfois beaucoup trop même (hahem...), d'ailleurs je suis en mesure de confirmer que c'est encore pire quand ça repasse dans l'autre sens. (Amis de la poésie, bonsoir !)

Je n'ai pas dit que je ne buvais pas d'alcool (même si les occasions sont devenues rares, on vieillit, on est plus sage...), mais je ne bois pas de vin. A part quelques vins cuits d'apéro, mais est-ce encore considéré comme du vin alors que c'est si sucré ?
Très franchement, à table (et en règle générale), rien ne vaut de la bonne eau bien claire. D'ailleurs en fait je bois comme un trou... mais de l'eau. Plate.

Au grand désespoir de mes parents, bien sûr... On est Bourguignon ou on ne l'est pas !

17 mars 2008

Tag-tou

2 - Depuis l'âge de 5 ans environ, je ne me lève jamais du pied gauche.

Ma maman me lisait des histoires avant de m'endormir, et il y avait notamment ce gros livre "365 histoires pour tous les soirs", ou un truc dans le genre. Des histoires courtes, d'autres plus longues, un soir une comptine, un autre une historiette à suivre... c'était très varié, dans mon souvenir tout du moins, une pour chaque date du calendrier.
Et dans ce gros livre, il y avait l'histoire d'un papa Ours qui était de très mauvais poil tous les matins, et maman Ourse, et les petits oursons, tout le monde subissait sa mauvaise humeur lorsqu'il se levait. Et tout le monde lui disait :
- Tu t'es encore levé du pied gauche, papa Ours !

Je ne sais plus bien comment, sa famille finissait par le persuader de poser le pied droit par terre en premier, pour voir. Il bougonnait mais essayait quand même le lendemain... et se sentait ce matin-là, comme par hasard !, d'excellente humeur. Et ensuite, il faisait la promesse de toujours faire attention à bien poser le bon pied en premier le matin au réveil.

Je ne sais pas quel raisonnement de petite fille j'ai pu suivre, surtout que je ne pense pas que j'étais particulièrement de mauvais poil le matin, mais je faisais gaffe à quel pied je posais par terre en premier.
J'ai (bien) plus de 30 piges et... je continue. Ce n'est pas un rituel dans le sens où, si j'oubliais la journée se passerait mal, non, si j'oublie, j'oublie, c'est tout, point. Mais je vous garantis que je n'oublie pas souvent...
Bon, d'accord, c'est un rituel puisque je le fais quasi systématiquement. Mais ce n'est ni un "toc", ni un genre de "porte-chance", je n'attends rien de ce geste, je le fais, c'est tout.

Où que je dorme, au moment de me mettre debout, si par hasard le pied gauche risque d'arriver au sol le premier, je le freine, j'ai une pensée pour papa Ours et je pose le pied droit.
C'est pas toujours facile, genre tu descends d'un lit superposé, t'es plus dans le même sens, ou bien il y a du bazar par terre (oooh ? chez moi ? meuuuh noooooooon...) pile là où tu devrais poser le pied, tu peux pas donc alors tu poses le gauche plutôt, question d'équilibre ? Et ben non, moi je me décale et je pose le pied droit, plus loin certes, il faut enjamber peut-être, voire sauter ! mais... le pied droit en prem's.
Quel que soit le lit et donc le côté duquel je me lève (parce que je n'ai pas de côté attitré, ça m'est égal), je m'assois sur le lit, et la jambe droite descend en premier.
Ou quand je dors par terre, matelas à ras du sol. Déjà c'est dur de faire l'effort de soulever la carcasse jusqu'à retrouver la station verticale, direct au réveil (mais y'a pas, il faut absolument aller faire pipi !) (mais ça coince, notamment au niveau de l'articulation des genoux...) Et ben y'a pas, en plus de cet énorme effort, il faut que je m'appuie sur le pied droit en 1er. Des fois j'en vacille, c'est dire.

C'est comme ça. ça n'embête personne, même pas moi, c'est juste un clin d'oeil (à la petite fille que j'étais ?) chaque matin.
Je ne suis quasiment jamais de mauvais poil le matin, même si c'est trop-trop-trop dur de se lever, et que je n'ai aucune envie d'aller bosser. Je suis dans le coltar total, certes, pas causante non plus, mais pas de mauvaise humeur. Je ne crois sincèrement pas que ça vienne du pied duquel je me lève...
D'ailleurs c'est la toute première fois que j'en parle, alors pour le coup, c'était vraiment un "secret", vous êtes gâtés !

(Mais... vous me prenez pour une folle. Et ben tant pis !) (J'assume totalement ce petit rituel perso...)

Il y a quelques années, j'ai fouillé dans le grenier de mes parents, je voulais remettre la main sur ce bouquin, histoire de vérifier si l'histoire (ahahaha) de Papa Ours correspond vraiment à mes souvenirs. Mais je ne l'ai pas retrouvé. Il a été lu et relu et rerelu, il était très abîmé, la couverture était déchirée il me semble, il a sans doute été jeté...

17 mars 2008

Tag-ouane

Rhooo, qui c'est qu'a tagué mon 'tit blog turquoise ? Vandales ! Y'en a 2, je les ai reconnues là-bas dans le fond !
Alors, Little Girafe et pis Luitne, elles z'ont dit (en substance, hein) :

Il faut livrer 7 “secrets” sur soi puis désigner 7 bloggeurs qui à leur tour devront livrer 7 secrets puis désigner 7 personnes qui devront….etc.
Pensez à avertir ceux que vous avez tagués !

Bon, alors "secrets", secrets...
Des trucs sur moi, quoi ! Parler de moi, tiens tiens tiens... hinhinhin.

1 - Je suis SoMnAmBuLe, depuis petite. Le toubib avait dit que ça passerait à l'adolescence, tu parles ! (ou alors je n'ai pas terminé mon adolescence, va savoir...?)
Il m'est arrivé, vers l'âge de 9-10 ans, de m'endormir en haut d'une mezzanine à laquelle on accédait par une échelle assez raide, et de me réveiller le lendemain matin en bas, dans un lit qui n'était pas le mien bien sûr. Le propriétaire du lit, âgé de 5 ans, dormait en haut à ma place, et a raconté que j'étais venue la nuit lui dire "Pousse-toi, pousse-toi !", et que je m'étais couchée à sa place... alors lui était monté à la mienne. (Alors qu'il n'avait pas le droit de monter à cette échelle, il était trop petit et c'était la chambre des filles en haut, haaaan !)

J'ai traversé une jungle, empêtrée dans les lianes, peinant à avancer, avant d'être réveillée par la mono et constater que j'étais à l'autre bout du marabout, debout dans mon sac de couchage (tu m'étonnes que j'avais du mal à avancer dans cette jungle, c'est pas fastoche d'avancer debout dans un duvet !)

Je me suis perdue dans un long couloir très sombre, avec des tas de portes immenses qui se refermaient sous mon nez, n'arrivant pas à rattraper mes parents qui marchaient trop vite. Lesquels m'ont retrouvée tambourinant contre le fond d'un placard, dans une chambre d'hôtel à NewYork...

Je me suis réveillée un fois en train de tourner le verrou de la porte d'entrée, prête à sortir pieds nus, paniquée, parce que je venais de prendre conscience qu'il était minuit et que je n'avais pas descendu les bébés de la voiture alors que j'étais arrivée chez moi depuis 18 heures. Je précise que... je n'ai pas d'enfant. Hum. Et quand je dis panique... pour de vrai, hein !

J'ai plusieurs fois vidé mon étagère à pulls.
J'ai décroché tous mes cadres et posters, à plusieurs reprises. Un matin, j'ai même retrouvé Olivier Martinez totalement étendu sur moi (mmmmmmhhh...), l'affiche du Hussard sur le toit géante taille 3 affiches de cinéma côte à côte, tout le toit quoi !, tellement large qu'elle tenait avec une vingtaine de punaises. Toutes sagement regroupées sur ma table de nuit. Et j'en ai méchamment bavé pour la réaccrocher, une fois bien réveillée.
Je me suis souvent réveillée dans le couloir, sans pouvoir me souvenir où j'allais. Ou scotchée, aplatie contre le mur, à chercher du bout des doigts l'encadrement d'une porte de sortie qui devait absolument se trouver là, vite vite les méchants se rapprochent.
Ou dans la salle de bain, en train d'ouvrir le robinet du lavabo.

J'ai déhoussé ma couette un certain nombre de fois. (Et franchement c'est super ch... de constater au réveil qu'il y a la couette d'un côté, et la housse à l'autre bout de la piaule.)

Et encore, tout ça c'est ce dont je me souviens, parce que d'une façon ou d'une autre je me suis réveillée hors de mon lit. Il doit y avoir bien des fois où je fais ma petite promenade, et puis je retourne au lit sagement comme comme si de rien n'était. Ni vu ni connu.
Sans doute le suis-je un peu moins ces derniers temps, il y a un moment que je n'ai pas eu de "preuve" de mes levers nocturnes.

C'est pas la peine d'avoir peur, hein ?! 
La légende comme quoi il ne faut surtout pas réveiller un somnambule... bé c'est une légende justement, il suffit de me dire "Recouche-toi", généralement c'est efficace. Gentiment, c'est tout, c'est pas la peine de m'épouvanter !

Un prof de neurosciences en fac, début des années 90, nous assurait que lorsqu'on rêve on ne bouge pas, les centres moteurs principaux sont bloqués, et que les somnambules bougent, eux, mais ce n'est pas associé à une période de rêve. Je n'étais pas du tout d'accord, et je savais de quoi je parlais !, il n'a jamais voulu me croire.
Remarque, il disait aussi que les rêves ne peuvent pas être olfactifs, que c'était un des rares sens non présents dans la vie onirique, je n'étais pas d'accord non plus... j'ai lu récemment que ça y est, des études ont prouvé récemment que les rêves peuvent tout à fait être olfactifs, ou même gustatifs. (Ah mais !)

Ah, et pis je cause, aussi. Je suis somniloque (oh le joli mot !) Sans forcément bouger du lit d'ailleurs.
Souvent incompréhensible d'après ce qu'on me dit, ou bien je revis des moments de la journée écoulée, engueulade contre les mômes, etc...
Mais ça c'est de famille, mon frère et ma soeur somniloquent aussi. J'ai des tas d'anecdotes à ce sujet, j'ai même pratiqué des expériences sur eux (hin hin hin !) Les parents disent même qu'on se répondait l'un l'autre, parfois.
Autant je ne sais pas si Bousier continue (Petit Scarab' ?), autant ma soeur persiste, ce qui m'a valu un bon fou rire pendant les vacances, parce qu'elle, en plus, elle cause en anglais... j'vous jure que c'est surprenant, en pleine nuit !!!

La suite demain... je savais bien que je ne pourrais pas faire court !

 

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Nan mais je rêve... !
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