Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Nan mais je rêve... !
27 janvier 2009

Il ne faut pas (6)

Les charmes de l'hiver...
Quand déjà tu n'es pas franchement en avance le matin, et que tu découvres ton pare-brise recouvert d'une bonne couche de givre bien accrochée...
MAIS tu as tes gants dans la poche, tu t'étais fait avoir l'autre fois et il avait fallu une bonne 1/2h avant de récupérer la sensiblité dans le bout de tes doigts, cette fois tu vas prendre le temps de les enfiler ces gants, haha, grattgrattgratt certes mais les mains protégées-au-chaud. A ce stade-là, t'es fière de toi. (Mais bizarrement, toujours pas en avance.)

Après la séance de grattgrattgratt du pare-brise avant, et des vitres côté conducteur ET passager paske c'est pas fastoche de tourner après dans des rues à angle droit si t'as pas la visibilité latérale quand même, séance pendant laquelle il a fallu appuyer fortfortfort, tu n'as plus du tout froid, bien au contraire, tu le sens sur tes joues qui ont dû bien rosir, voire tu as carrément chaud même d'ailleurs, et tu te fais intérieurement la réflexion que voilà des calories fort bien dépensées de bon matin.
C'est à ce moment que tu constates que ta bretelle de soutif qui se fait la malle sur l'épaule, tu vas pas la supporter bien longtemps, va falloir remonter tout ça.

DONC tu glisses péniblement ta main entre (et c'est d'autant moins fastoche que tu as enfin chaud/t'es tout moite, je te rappelle), entre, donc :
le col du manteau,
l'écharpe,
le foulard,
l'encolure du pull,
             du tee-shirt à manches longues,
             du top à manches courtes,
tu y vas franco à travers toutes ces épaisseurs, c'est qu'il faut la choper au vol la fichue bretelle qui s'approche maintenant de ton coude, et là...

... c'est le drame. Sur ta main, tu as toujours ton gant. Celui que tu portais pour dégivrer avec énergie ton pare-brise. Lequel, tu n'avais pas spécialement fait gaffe, est maintenant entièrement recouvert... de fines raclures de givre.

Gasp.

Il ne faut pas, oh non, il ne faut pas partir à la pêche à la bretelle de soutif avec une main pleine de givre...

C'EST FROIIIIIIIIIID !
(sans déconner !)

Publicité
Publicité
25 janvier 2009

à méditer

X. Darcos, octobre 2007 :
" L'Education Nationale n'est plus un mammouth, mais un paquebot. Il est plus discret d'y ouvrir plusieurs petites brèches plutôt que de lui faire rencontrer un iceberg."
" La plupart des mesures que je prends servent surtout d'habillage aux suppressions de postes."
" Le problème que nous avons en France, c'est que les gens sont contents des services publics. L'hôpital fonctionne bien, l'école fonctionne bien, la police fonctionne bien. Alors il faut tenir un discours, expliquer que nous sommes à deux doigts d'une crise majeure mais sans paniquer les gens..."
                                                                                 

Dans un document de l'OCDE (n°13, 1996) (OCDE: organisme intergouvernemental dont la France est membre) :
" Si l'on diminue les dépenses de fonctionnement, il faut veiller à ne pas diminuer la quantité de service, quitte à ce que la qualité baisse. On peut réduire, par exemple, les crédits de fonctionnement aux écoles et aux université, mais il serait dangereux de restreindre le nombre d'élèves. Les familles réagiront violemment à un refus d'inscription de leurs enfants, non à une baisse graduelle de la qualité de l'enseignement. Cela se fait au coup par coup, dans une école et non dans un établissement voisin, de telle sorte qu'on évite un mécontentement général de la population."

Du ministre de la fonction publique (rapporté par Charlie Hebdo) :
"Les retraités de la fonction publique ne rendent plus de services à la nation. Ces gens là sont inutiles, mais continuent de peser très lourdement. Il faudra résoudre ce problème."

Je vous en mets un peu plus ?

Allez, pour ceux qui entendent parler des évaluations CM2 mais de loin, et ne voient pas où est le problème (à part le fait que les instits passent leur temps à râler...), voici un diaporama trouvé qui résume parfaitement :

http://ddata.over-blog.com/xxxyyy/1/92/89/89/diapoEvaCM2.ppt

Je sais que je ne devrais pas en parler ici, que ce n'est pas le style voulu pour mon belog, que nous sommes "surveillés" (brrrrrrrr !)
Mais je voulais vous donner la/les raison(s) pour la/lesquelle(s) je n'ai guère l'envie d'être légère et anecdotique, en ce moment...

Ah, et puis parce que ça me glace le sang aussi, d'une autre façon :
http://ange-etrange.over-blog.com/article-27121615.html
Bravo, Ange-Etrange.

...

(Par contre, pas de polémique dans les comms d'accord, pas d'insultes, pas de revendications, pas de propagande. Il y a des lieux de débat pour ça, mais pas ici. Je voulais juste dire un peu plus haut ce qui se dit dans notre dos. Merci) (Mais je sais que ce n'est pas le genre de mes lecteurs habituels, n'est-ce pas ? :-))
(De toutes façons je supprimerai tout ce qui me semble innaproprié, déplacé ou exagéré.) (Paske c'est moi le chef, en ce modeste ici !!!)

15 janvier 2009

L'histoire de la coulotte disparue -3- épilogue

('tain, un chat qui s'amuse à tapoter le pavé tactil du bout de ses coussinets, c'est ch... Il fait n'importe quoi... En plus il déclenche des fonctions que je ne connais même pas !!!)

Comment ça, la suite, la suite ? j'y viens, j'y viens !)

Episode 7 :
Lendemain matin, ouverture du portail et entrée des enfants. P'tit Lulu, élève de l'an dernier, m'intercepte dans la cour :
- Dis maîtresse, c'était quoi dans le cadeau que maman elle emballait pour toi hier ? Elle a pas voulu me dire !

Ah tiens donc...

Mouhahahahaha, ven-due, la maman, par son propre rejeton !

Et comme il insiste le loupiot, je réponds que ce sont des bêtises entre adultes, que sa maman m'a fait une farce.

Et puis bien sûr à midi je me rends à la cantine présenter mes excuses à S. pour l'avoir accusée à tort, maintenant que je tiens le nom de la farceuse en chef...

Et tandis que je me faufile entre les tables des enfants, P'tit Lulu m'attrape par la manche et retente :
- Mais c'était quoi le cadeaaauuu que maman t'a faiiiit ?!?! (oui, l'impatience et la curiosité le font parler avec des lettres en plus et la voix qui monte dans les aigus, pas vous ???)
- Des bêtises entre dames, je te dis !
- Oui mais quoi comme bêtiiiiises ?!?!
Alors je me penche et lui chuchote à l'oreille :
- Une p'tite coulotte.
Là, ma révélation lui a coupé le sifflet, il ouvre des yeux grands comme des soucoupes et fait mine de ne rien vouloir savoir de plus. Le reste de la tablée me regarde bizarrement...

Episode 8 :
A la sortie, je chope la maman bien sûr et lui signale que j'ai mes indics sur le terrain et qu'elle est démasquée. Elle est dégoûtée. (Et P'tit Lulu se fait gentiment enguirlander pour sa traîtrise.) Bah oui, on ne peut même plus compter sur ses propres enfants, que voulez-vous ma bonne dame !

Elle m'explique que c'est en fait une coulotte jetable que l'on trouve dans les kits d'épilation-maillot. Haaaaa boooon...  (Bravo Em, tu n'étais pas bien loin !)
Elle m'explique aussi qu'elle a eu bien du mal à glisser le paquet dans mon sac à mon insu, qu'il a fallu attendre que je le dépose à l'entrée des douches et que je tourne le dos, le paquet planqué dans le sien, de dos, fastoche de planquer quelque chose quand t'es en maillot de bain ! (et  pourtant moi j'ai vu que dalle...)
Que tout le monde était au courant et guettait le moment où j'allais lâcher ce fichu sac...
Mmmmmmhhhh... organisées, ces dames !

Epilogue :
Le lendemain matin, c'est la maman qui vient me voir pour me raconter que la veille, tandis qu'il faisait ses devoirs, P'tit Lulu l'a questionné :
- C'est vrai que c'était une petite coulotte le cadeau pour mlle Mimi ?
- Euuuh... ben ouiiii...
- ??? ... Maiiiis... tu lui as quand même pas donné une de tes coulottes à toi ???

...

Mouhahahahahahahhahahahahahahahhahahahaahhaaaaa  !!!

13 janvier 2009

L'histoire de la coulotte disparue -2-

Voilà, voilà, j'arriiiive !
Donc, on en était où déjà... ?

Episode 3 :
J'arrive donc chez moi, je détaille le couloir (rien), et puis, sur la montagne de linge amoncelé sur la table à repasser (qui me sert surtout d'étagère...), là... juste là, bien pliée, prête à être glissée dans le sac de piscine... elle. Ouf. Pas perdue, donc, juste oubliée, encore un geste interrompu avant d'arriver à son terme, je fais beaucoup ça en ce moment, je commence un truc et puis je m'arrête pour faire une autre chose. Pour commencer autre chose, que je ne termine pas, parce que je m'interromps pour faire encore une autre chose, pfff.

Episode 4 :
Les jours suivants, chacune à leur tour, les mamans aquagymeuses ne se sont pas privées de venir me demander, discrètement je le reconnais mais avec un maxi sourire :
" Aloooors, cette coulotte ? Retrouvée ? "
Ouiiiii, retrouvée... :-D

Episode 5 :
Jeudi suivant, dernière séance de piscine avant les vacances. Je vérifie 3 fois que j'ai bien mis une coulotte dans le sac, et je sais pertinemment que je vais me faire vanner, c'est logique.
Dans le vestiaire, à chaque fois que quelqu'une arrive elle me demande 1) des nouvelles de la coulotte perdue de la semaine dernière, et 2) si j'ai bien une coulotte, cette fois.
OUIIIIIII ! j'en ai uuune !!! Je la montre haut et fort, je la brandis, victorieuse ! Ha ha, je ne me ferai pas avoir 2 fois !!!

Episode 6 :
Fin de la séance, douche, re-vestiaire et rhabillage, je farfouille dans mon sac pour sortir MA coulotte, et je tombe sur... un petit paquet-cadeau bleu.
Ha ha ?

DSC02546 (clic-clic si tu veux voir plus grand)

Avec des petits mots dessus : "A ouvrir en cas d'urgence", et "à avoir toujours avec soi, surtout à la piscine"
Tiens tiens tiens...
Je sens les regards sur moi, (je sens la serviette autour de moi qui se barre aussi.)
J'ouvre. Pas fastoche d'une seule main, quand l'autre retient la serviette à une hauteur convenable pour la décence !

Et là je découvre...

DSC02552

Fou-rire de moi.
Et fou-rire dans le vestiaire, bien sûr, tout le monde vient voir ma super coulotte jetable de secours, en espèce de coton/papier tissé très fin, magnifiques coutures dans un merveilleux camaïeu de roses.

Je leur assure bien à toutes qu'elle restera là, dans mon sac, au cas où. Pour chacune d'entre elles si besoin, on ne sait jamais !
Tout en finissant de m'habiller, je cherche l'identité de la coupable-farceuse, je scrute ces dames, qui se marrent toujours. Ma voisine la plus proche y va volontiers dans les commentaires, et elle est franchement hilare. S. se trouve être la cantinière de l'école, donc on se voit tous les jours, et justement c'est bien son genre, on retrouve régulièrement des tranches de pain dans nos capuches et des morceaux de sucre dans les poches quand on a mangé à la cantine...
Hum hum huuuum.. Oui, ce pourrait bien être elle...
J'accuse, elle proteste, "pourquoi moi, c'est toujours moi qui prends, c'est pas moi cette fois !!! "
Ok, c'est peut-être pas elle. De l'autre côté du banc, les copines-qui-n'ont-rien-à-voir-avec-l'école rient trop franchement pour que ce soit elles.
Je scrute les regards des autres mamans, mais rien, je n'y lis rien, regards super neutres, genre "cette-histoire-est-bien-rigolote-mais-j'y-suis-pour-rien-ça-ne-me-regarde-pas", juste S. continue de se marrer. Je doute. Si ça se trouve, elles sont toutes complices...!   

S. reste la plus "suspectable", parce qu'on se voit tous les midis. Les autres mamans... ben on se connait moins, quoi. En tout cas ce sont de bonne comédiennes, impossible de savoir, tout le monde nie. Et puis je n'ose pas accuser ouvertement, non plus ! Je crois que je ne saurai jamais. En plus je ne vois pas à quel moment elles ont eu accès à mon sac, puisque je le garde avec moi tout le temps !

...

.......to be continued.......

Ha ben non c'est pas fini, hein, la suite très bientôt... (re-tadadaaaaaa !) (quel suspens mes amis, quel suspens...) (vous allez tenir le coup ou bien ? ;-)

10 janvier 2009

L'histoire de la coulotte disparue -1-

Prologue :
Septembre dernier, reprise de l'aquagym, surprise : je retrouve dans le vestiaire, en plus des copines habituelles, non plus une maman d'élève mais... cinq (élèves passés, présents ou à venir très bientôt). Et même une grand-mère d'élève ! Certes elles sont sympas et on s'entend bien, mais bon, quand même quoi, le soir, quoi, pffff, je ne pense plus au boulot normalement. Je vais devoir mettre la pédale douce, freiner mon défoulage hebdomadaire dans le bassin, c'est que j'ai une réputation de maîtresse sérieuse à maintenir !

Episode 1 :
Fin de la première séance, vestiaire collectif, l'une des mamans farfouille dans son sac frénétiquement, elle a très peur d'avoir oublié sa coulotte et on en rigole. Et on me questionne, moi qui vient depuis longtemps, ça a dû m'arriver forcément ?
Ben non, en 10 ans de piscine je n'ai pas souvenir d'avoir oublié d'amener une coulotte un jour. En tout cas il ne me semble pas ? (j'ai la mémoire aléatoire, en règle générale, mais il me semble que je m'en souviendrais, il y aurait eu moqueries et rigolade, forcément) (oui, il y a des gens qui s'en rendraient compte tout en discutant, surtout ne moufteraient pas et s'habilleraient discrétos, mais c'est pas mon style, s'il y a matière à rire il faut l'exploiter, d'autant que je ne suis guère pudique de ce côté là !) Le running-gag me concernant, c'est plutôt qu'en hiver je porte sous-pull et cols roulés, et que je persiste à les enfiler alors que j'ai encore la serviette enroulée autour des cheveux, donc régulièrement je reste la tête -et la serviette- coincée(s) dans les cols de mes pulls, c'est tout une gymnastique, en plus c'est crevant.
Mais donc non, en 10 ans de scine-pi je ne pense pas avoir jamais oublié ma coulotte, je prépare toujours mon sac très consciencieusement. Ces dames n'en reviennent pas, elles savent pertinemment que, bien que sérieuse, je suis bordélique et tête-en l'air, ben oui, la réput' à l'école est faite de ça aussi...

épisode 2 :
Mi-décembre, vestiaire co., fin de séance-rhabillage, JE fouille mon sac frénétiquement... pas de coulotte !!! Ces dames se marrent, "Elle avait encore jamais oublié sa coulotte, tiens donc...!"
Pourtant je suis sûre de l'avoir préparée, même que c'est celle qui est coordonnée avec ce soutif-là, je me revois en train de la plier pour la mettre dans le sac. Mais j'ai beau vider le sac, rien, a 'ien du tout qui ressemble à une coulotte, arrrrggghhh.
Une seule solution : elle est tombée du sac... mais ooooùùùù ?
Si c'est dans la rue, c'est con, j'ai perdu une de mes coulottes préférées, mais bon tant pis (mais quand même, ça fait iéch, pour une fois que j'avais un ensemble coordonné !) (en plus c'est une bien, forme agréable et élastiques pile comme il faut, pfff)
Si c'est sur le parking, le mien ou celui de la piscine, bon, je vais peut-être même la retrouver.
Si c'est dans le couloir de la piscine, ou dans le hall, haaaaaaaan, ça c'est la te-hon totale !!!!
Et si c'est au bord du bassin... (parce que j'emmène mon sac sur le banc au bord, je ne laisse pas dans un casier, je déteste ces petits bracelets à clés à peine assez larges pour mon poignet), alors où ? ... pile devant le local des maîtres-nageurs ? ... vers les douches ? ... carrément au bord du bassin ? ...???
Et je fouille et refouille mon sac, en geignant en boucle "Ma coulooooootte, où qu'elle est ma coulooootte ?!?!", et le vestiaire se marre, enfin, ces dames, pas le vestiaire lui-même hein allons !, et j'en rajoute bien sûr.

Enfiler le jogging kul-nu ne me gêne absolument pas,
avoir perdu cette coulotte-là me fait suer un peu,
imaginer qu'elle traîne peut-être par terre à la vue de tous et que les gens rigolent en la voyant me terrifie carrément et j'en suis toute rouge.

Je parcours le bâtiment en tous sens partout où je suis passée en arrivant, les couloirs, le hall, je me permets de me glisser derrière le comptoir dans l'entrée (à 21h il n'y a plus personne à la caisse) et de fouiner dans les étagères, des fois qu'elle ait été trouvée et ramassée, qui sait, je vois un grand seau empli de maillots mouillés et abandonnés (impressionnante quantité...!), mais de jolie coulotte turquoise, point.
Je décide de retourner sur le bassin, le jogging roulé remonté aux genoux pour passer le pédiluve, le rouge aux joues, et les vétérans water-polo dans l'eau à ce moment (dans lequel se trouvent des papas d'élèves bien sûr, attends) me regardent passer et regarder sous les bancs, médusés.
Toujours 'ien.
Bon.
Ben tant pis.

Les mamans, hilares, me promettent spontanément de ne pas cafter le lendemain aux collègues (notamment à l'un d'entre eux, à l'humour parfois un peu... lourd) (et quand bien même...!) On se quitte sur le parking, non sans avoir vérifié les formes par terre dans la pénombre, non, que des feuilles mortes...

Je m'installe dans la voiture, inspecte le siège passager, les abords du siège, 'ien.
Sur le parking en arrivant chez moi, dernier espoir, il fait nuit noire, on ne voit pas grand chose, (des années que le proprio doit nous mettre un éclairage, c'est maintenant que ça me serait vraiment utile !), mais non, toujours rien non plus. Pourvu que je ne la découvre pas devant une voiture demain au petit jour en partant !

...

Bon, et la suite (à rallonge) bientôt, parce que là il se fait tard, et puis je vais vous fatiguer avec ce suspens palpitant, ta da daaaa !

Publicité
Publicité
7 janvier 2009

Devine...

Oui, il fait froid, carrément, oui, tout n'est pas rose autour de nous, loin de là, oui, il y a bien des choses qui se passent en ce moment, ici et ailleurs, que je ne comprends pas, mais...

...je vous souhaite quand même un max de supers trucs en cette année toute neu(f)ve, des jolies choses, des bonnes nouvelles, la bonne santé (ah ben oui, hein, c'est important)(private joke...) et la réalisation de vos souhaits et projets. Entres autres !

Bref :

BA3

Perso et puisqu'il y a déjà 3 lecteurs qui m'ont souhaité la même chose (merciiii !), promis je vais faire très attention à mon équilibre en général (j'ai déjà commençé en fait) et aux marches d'escaliers/de trottoir/d'estrade/escabeau/ou autre en particulier... On va dire que ce sera ma principale (et unique ?) résolution ! 

(oui, je m'éclate avec Paint alors que je suis totale overbookette et que je vais me coucher à point d'heure, mais bon... C'était pour la bonne cause :-)

Publicité
Publicité
Publicité
Nan mais je rêve... !
Derniers commentaires
Newsletter
Archives
Publicité